samedi 27 novembre 2010

Google vous donne rendez vous ce dimanche !

La vidéo présentant le rendez-vous

Google vous donne rendez vous ce Dimanche 28 Novembre 2010 sur TF1, à 20h44 très précisément. Juste avant la diffusion du très célèbre film "Bienvenu chez les Ch'tis", nous aurons le droit à un spot télévisé de la part de Google sur, probablement, son nouveau service : Google Une Histoire.

"Ce service devrait permettre à n'importe qui de créer en quelques minutes un montage vidéo réussi."

Google a déboursé quelques 300 000 € brut à TF1, qui d'ailleurs avait augmenté pour la soirée ses tarifs publicitaires à 150 000 les 30 secondes. Le spot vidéo devrait donc durer une minute.


Rappelons que ce n'est pas la première fois que le géant de l'internet utilise les spots TV pour faire sa propre publicité. En effet, le Dimanche 7 Février 2010 un spot d'une trentaine de seconde intitulé "Parisan Love" avait été diffusé sur l’écran géant du Superbowl. Seule différence, cette vidéo était disponible sur la chaîne Youtube de Google depuis quelques semaines déjà.

"Parisian Love", présenté lors de la finale du SuperBowl





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mardi 16 novembre 2010

Eric Schmidt dévoile un peu du "Nexus S" au Sommet du Web 2.0


Lors du sommet du Web 2.0 (Web 2.0 Summit) Eric Schmidt, après avoir était questionner sur l'avenir du Nexus One, a sorti de sa poche un téléphone sous Android 2.3 Gingerbread. La marque du constructeur a été bien soigneusement cachée,  mais le nouveau téléphone ressemble étrangement au Nexus S tel que présenté par Engadget ces derniers jours...


Me serrais-je trompé en redigeant mon précédent billet (voir notre article) ? Peut être... A vrai dire, je vais faire comme l'actuel PDG de Google : je vais jouer sur les mots :

  • Est ce qu'un GT-i9020 ("Nexus S") est en préparation ?
Tout porte aujourd'hui à croire que oui !
  • Est ce qu'il pourra être considéré comme un « Nexus Suite », auquel je disais ne pas croire précédemment ? (voir notre article)
Affaire à suivre...


En effet, Eric Schmidt s'amuse à rappeler que Google avait promis de ne pas lancer de "Nexus Two", et qu'ils avaient de ce fait respecté leur parole.

Comme le rapporte si bien FRAndroid, voici le discours qu'a tenu Eric Schmidt :
E. Schmidt : Il n’y a pas de Nexus Two...
Présentateur : Mais un Nexus S ?
E. Schmidt : J’ai dit qu’il n’y avait pas de Nexus Two.
Je trouve tout de même limite de la part de Google se moquer de la figure de leurs clients avec une telle désinvolture... Mais bon !

En attendant, trois nouveautés sont à noter. La premiere d'entre elle que j'ai pu remarquer, annodine, est que le bouton de déverrouillage de l’écran ne se trouve plus en haut de l'appareil (comme pour le Nexus One), mais sur le coté gauche. La deuxieme est bien évidement la tant attendue caméra frontale destinée à la visio-conférence instaurée par Gingerbrad. Et la troisième et dernière nouvauté est la puce NFC (Near Field Communication) intégré au terminal, qui concrètement permettra d'utiliser votre téléphone comme une vraie carte de crédit dans les magasins équipés (après avoir rentré vos informations bancaires dans votre téléphone bien sur). Pour finir, je vous ai mis en place une petite série de photos et la vidéo de l'intégralité de la conférence.
Le GT-i9020 présenté par Engadget il y a quelques jours
L'arriere du téléphone, toujours présenté par Engadget
Le téléphone sortit de la poche d'Eric Schmidt lors de la conférence


L'intégralité de la conférence, le téléphone est présenté dès le début.



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dimanche 14 novembre 2010

Pourquoi Gfoaongle ne croit pas en un Nexus Two/Nexus S ?

C'est LE sujet qui fait actuellement couler une grande quantité des pixels sur la blogosphère Googlienne : « Il y aura t'il oui ou non un second téléphone proposé par Google !? »

Le soit disant Nexus Two tel qu'il devait
être présenté le Lundi 08 Novembre 2010
Et j'utilise le terme "proposer" à juste titre ! Parce que finalement, posons nous la question : qu'est ce vraiment qu'un Nexus Two, S, X, ou Y ?

Oui parce que, on peut appeler n'importe quel téléphone Nexus et y rajouter une annotation ! Mais dans ce cas, qu'est ce qui pourra nous faire dire qu'un téléphone est digne de faire partie de la série Nexus véritablement (si tant est qu'elle existera un jour) ?

Quels critères retiendrons nous pour que le téléphone soit digne d’être la suite du Nexus One..?


Pour le savoir, il faut d'abord définir ce qui rend le Nexus One si exceptionnel.
  1. Déjà, il est le nouveau Android Dev Phone. Rien d’exceptionnel la dedans certes, mais ça a tout de même son importance !
  2. Ensuite, il est très ouvert. Il n'a aucune surcouche ajoutée, est vendu desimlocké, facilement rootable. En gros c'est le hochet du bidouilleur et/ou du programmeur !
  3. Il a, officiellement, était crée pour faire avancer et diriger les constructeurs de téléphones Android vers la bonne voix (au niveau hardware). Ne vous y tromper pas, cet élément a une importance double sur l’analyse de la situation actuelle !
  4. Pour finir, et c'est ce qui fait toute la suprématie du Nexus One, c'est Google lui même qui a dicté à HTC ses consignes pour construire le terminal.


Dans cette optique, un véritable « Nexus Suite » devrait :
  • Etre dicté par Google au constructeur
  • Faire bouger les constructeurs au niveau du choix de leurs composants hardware
  • Devenir le dernier Android Dev Phone


Analysons donc tout ça en détails maintenant :

Pourquoi choisir le Nexus One comme Android Dev Phone si c'est pour le remplacer par un autre directement ? Alors oui, le Nexus One a bientôt un an et il se fait vieux... Beh en fait non ! C'est à l'heure actuelle un des smartphone disponible le plus haut de gamme ! L'utilité du Nexus One en tant que Android Dev Phone se résumerait-elle uniquement à bénéficier de FroYo (et surement Gingerbread) en exclusivité ?
Je doute...

Le Nexus One a était, officielement, crée pour "faire avancer plus loin l’industrie matérielle des téléphones mobiles" et, toujours selon Google, "Ce fut un tel succès que nous n’avons pas eu à en faire un second".
Je pense qu'après l’échec, officieux, de la commercialisation (le produit en lui même étant tout à fait génial), Eric Schmidt n'est pas assez bête pour démentir une information aussi capitale sans y avoir bien réfléchi avant. Alors oui, peut être, que Google a changé d'avis... Oui, ils avaient aussi démenti l'arrivé du Nexus One... Mais entre dire "nous ne travaillons pas sur ce que vous pensez que nous travaillons", et dire concrètement "oubliez le Nexus Two", il y'a quand même de la différence...
Je vous disais que cet élément était d'une importance double, alors voici la deuxième partie !
Loin des déclaration du PDG de Google, posons nous la question : Est ce que les smartphones ont à l'heure actuelle encore une fois besoin d'un petit coup de pouce ? Comme dit plus haut, le Nexus One reste encore l'un des meilleurs téléphone en compétition, et mise à part la visio-conférence (pas de camera frontale sur le N1), il n'y a pas besoin de grand chose en plus... Alors sur ce point mon avis peut effectivement être partagé...

Pour finir, si Google décidait quand même qu'un « Nexus Suite » n'est pas une si mauvaise idée, il serrait plus logique que HTC garde l'honneur de le construire ! En effet, une gamme de smartphone, par définition, ne change pas de constructeur... De plus, le partenariat entre Google et HTC qui dure depuis des années a était autant bénéfique pour l'un que pour l'autre. Pourquoi changer une équipe qui marche !? Surtout quand on voit quel petit bijou est le Nexus One.


Photos non vérifiées du Nexus S, proposées par Engadget
Les plus optimistes d'entre vous crieront au blasphème en cantonnant que il y'a des photos !! Je leur répondrait tout simplement : Oui.
Mais que faites vous des photos du soit-disant Nexus two du 08 Novembre (voir notre article) !? Ce n'est pas difficile de proposer des photos par le biais d'internet aujourd'hui...
Attendez ! Je vous vois venir... "Quant est il du Nexus S présenté brièvement sur Best Buy !?", et là je vous répond que cela dépend, comme dit plus haut, de ce qu'on appelle « Nexus Suite ». Il est possible qu'un téléphone appelé tout simplement "Nexus S" soit commercialisé, mais serra t'il le digne et véritable successeur du Nexus One ?


Voila, je précise quand même que tout ceci n'est que mon propre ressentit et n'engage absolument que moi


Et enfin pour résumer, voici donc pourquoi Gfoaongle ne crois pas en un Nexus Two/S comme décrit précédemment :
  • Au vu des dires de Google, il n'y a actuellement pas grand besoin de sortir un nouveau "superphone" (mise à part la visio-conférence)
  • Google pourait perdre la confiance de ses utilisateurs en tentant de les tromper par leur communication
  • La primatie du Nexus One en tant qu'Android Dev Phone semblerait dérisoire
  • Il est, en toute logique, improbable que se soit Samsung et non HTC qui serrait chargé de construire le terminal


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jeudi 11 novembre 2010

Le bleuet remplace Gingerbread

/!\ Mise à jour du 08 Mai 2011 Google remet ça ! (voir notre article)
Haaa que de rumeurs qui circulent à travers notre bel outil qu'est le web ! Rumeurs qui trop souvent, s’avèrent malheureusement être non fondées... J'avoue cependant m'être laissé tenter de croire à celle ci plus qu'à celle parlant d'un Nexus Two. En effet, alors qu'on parlait d'un Nexus Two pour Lundi dernier et de l'arrivé de la version d'Android Gingerbread 2.3 pour aujourd'hui, Google a décidé de démentir une à une les rumeurs à sa manière : A coup de Doodle !

D'abord le 08 Novembre 2010 avec celui du 115eme anniversaire de la découverte des rayons X (voir notre article), Google a voulu faire plus simple en ce 11 Novembre 2010. Effectivement, la page d'accueil française du plus célèbre des moteurs de recherche se dote aujourd'hui d'une simple et très jolie fleure bleue. Ce bleuet des champs est en fait considéré en France comme le symbole de l'Armistice de 1918.

Bien évidement, la possibilité d'une sortie de Gingerbread n'est pas totalement (mais à mon sens, fortement) écartée, vu qu'à cause du décalage horaire il n'est actuellement que 12h17 à Washington, et il est encore bien plus tôt à Mountain View !!



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lundi 8 novembre 2010

Nexus Two ? Non, un simple Doodle...

Chers lecteurs, nous sommes le 8 Novembre 2010 ! Et aujourd'hui il s'est passé quelque chose chez GoogleQuoi ? Qui a parlé de ce soit-disant "Nexus Two" annoncé par Samsung...? Pas moi en tous cas ! Même si j'avoue avoir attendu impatiemment ce jour pour voir si, oui ou non, j'eusse eu raison d'être septique... Et il semblerait que la réponse soit oui !

Si la véritable nouveauté de chez Samsung vous intéresse, PcWorld vous a écrit un très bon article consultable ici !

Bref ! Comme à son habitude, Google change le logo de son moteur de recherche à l'occasion de certains jours spéciaux, et c'est aujourd'hui l’occasion de rendre hommage à Wilhelm Röntgen, qui découvrit les rayons X il y'a tout juste 115 ans.


Les rayons X sont très utiles et utilisés, notamment dans la sécurité (aéroports, etc...), mais également dans la médecine (radio, etc...). Le Doodle adopte d'ailleurs le look "radiographie", passant sous scan le fameux logo du groupe. Il est animé (les halos qui entourent chaque lettre gagnent et perdent périodiquement en luminosité), mais pas interactif comme de précédents logos tel que celui d'Halloween (voir notre article). On trouve également à l’intérieur des deux O un canard en plastique, ou encore une clef... Ces derniers n'ont, apparemment, aucun sens précis.



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dimanche 7 novembre 2010

Syndicats et associations contre Google !

/!\ Mise à jour du 09 Novembre 2010 :

Google a répondu à la lettre d'hier, adressée à Eric Schimt, au sujet de la modification des conditions d'utilisation du service Google Adwords.

Le groupe précise qu'il est en position parfaitement légitime vis à vis de la loi, et que les grandes marques ne devrait pas avoir peur de faire confiance à l'esprit critique des internautes.
En effet, Google métaphore avec le fait que  « Les consommateurs ne sont pas induis en erreur lorsqu'ils voient différentes marques dans les rayons d'un supermarché » en rajoutant même que  « Les consommateurs sont des utilisateurs éclairés » et que de ces faits, Google ne pense pas qu’ils « puissent être induits en erreur par la présence de plusieurs publicités pour un produit ».


Le géant d'internet rappelle également qu'il est possible, et cela même avant le 14 septembre dernier, de soumettre une réclamation si « Un concurrent utilise [leur] marque déposée dans son texte d’annonce ».

Google précise, sur sa page d'aide, que si la réclamation est "fondée et motivé", elle sera étudiée et qu'à terme le concurrent se verra demandé de retirer son annonce jugée frauduleuse.

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Bien que je mette un point d'honneur a ne pas m'attarder sur les rumeurs, et surtout à ne pas les relayer sur ce blog, un article du site Electronlibre a su retenir toute mon attention, et je me permet de vous en faire part !

Il s'agirait d'une lettre de protestation à destination du PDG de Google, Eric Shcmit, contre "la nouvelle politique de diffusion des liens commerciaux" du groupe, mise en place depuis le 14 septembre 2010.

En effet, depuis cette date il est possible d’acheter le nom de marques déposées (comme BMW, Apple etc...) auprès du service Google Adwords qui permet de référencer un site internet parmi les liens commerciaux du moteur de recherche (les liens sur fond jaune en tête de recherche, et ceux dans la colonne de droite).


La lettre est adréssé par "l'ensemble des dirigeants des sociétés commerciales", soit :
  • L'Union Des Annonceurs (UDA)
L'UDA se dit vouloir "Promouvoir une communication responsable", "faire valoir les intérêts et les positions des annonceurs auprès de leurs interlocuteurs", et "permettre à ses adhérents d’optimiser, en efficacité et en coût, leurs investissements en communication".
On retrouve dans ses membres notamment Air France, McDonald's ou encore Nestle.
  • L'Union des Fabricants (UniFab)
L'UniFab se positionnent quant à eux tout simplement comme les défenseurs de la propriété intellectuelle sous toutes ses formes.
Les sièges de son conseil d'administration sont notamment occupés par Walt Disney, Lacoste, Microsoft et Nike pour ne citer que quelques uns d'entre eux.
  • Le Syndicat de la Presse Quotidienne Nationale (SPQM)
"Le SPQN a pour vocation le conseil et la défense des intérêts de la Presse quotidienne nationale. Il étudie toutes les questions économiques, juridiques et sociales concernant la presse. Il intervient en tant que de besoin sur l'ensemble des domaines relevant de la communication."
Les journaux Le Monde, L'Equipe, Le figaro ou encore Libération en font notamment parti.
  • Le Syndicat de la Presse Magazine (SPM)
Le but de la SPM est d'"accompagner l'évolution de la presse et de ses métiers, et si possible les anticiper", ainsi que de "contribuer à « normaliser » le marché de la presse, lequel reste marqué par une réglementation excessive, illusoirement protectrice, et une organisation qui n'est pas toujours synonyme d'efficacité".
Il regroupe parmi ses rangs notamment Entrevue, Le Point ou encore Télé Z.



La lettre devrait officiellement être publiée demain, mais elle est d'ores et déjà disponible en téléchargement sur les serveurs de Electronlibre à cette adresse : Telecharger le document complet.


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samedi 6 novembre 2010

Google Shopping en détails !

Après avoir analysé Google TV (voir notre article), lançons nous maintenant à l’assaut du tout dernier produit Google arrivé en France : Google Shopping ! Google Shopping était déjà disponible aux Etats Unis, en Angleterre, en Australie et en Allemagne avant de débarquer enfin en France.

A noter que le service s'est pendant quelques jours d'abord appelé Google Achats, avant d'être renommé en Google Shopping comme chez nos voisins Allemands. Ceci laisse penser que ce nom servira pour tous les pays Européens qui bénéficieront du service. En effet, dans les pays anglophones il se nome Google Product Search (ou tout simplement Google Product).



Google Shopping se dote d'une page d'accueil fidèle au groupe : Simple, mais efficace.
Elle ressemble d’ailleurs à s'y méprendre avec celle du moteur de recherche, à l’exception de "quelques idées" qui sont disposées en dessous de l'habituel champ de recherche, et séparées en cinq grandes catégories :
  • Les loisirs numériques
  • Le bureau
  • La cuisine
  • La maison
  • La mode
Google Shopping permet à l'utilisateur de trouver un produit et de comparer les prix de chez bon nombre de commerçants tels que :
Voir la liste :
  • Rue du commerce
  • Boulanger
  • Top Achat
  • Apple Store
  • Galerie Lafayette
  • Darty
  • M6 Boutique
  • Yoox.com
  • 3 suisses
  • La Redoute
  • Fnac
  • DocteurDiscount
  • CDiscount
  • Misco.fr
  • Kiabi
  • Ubaldi.com
  • LDLC.com
  • BUT
  • 2xmoinscher.com
  • MisterGoodDeal
  • Spartoo

Lors d'une recherche, les résultats apparaissent d'abord en fonction de leur pertinence. Par exemple, lorsqu'on recherche "Google" le premier résultat de la liste est un Nexus One, suivi en deuxième position d'un stylet compatibleTous ces résultats peuvent également être triés par ordre croissant ou décroissant en fonction du prix.

Comme le rappelle Google dans ses conditions d'utilisation de Google Shopping«
  • Les offres sur Google Shopping excluent également les billets, véhicules, services et produits vendus avec des forfaits (téléphones mobiles, par exemple).
  • Les offres de produits nécessitant une adhésion à un club ou à un site Web sont également interdites.
  • Les produits et pages de destination doivent indiquer les prix dans une devise prise en charge. »
Pour enregistrer un produit sur Google Shopping, le vendeur doit dans un premier temps se rendre sur cette page, puis suivre les indications données. Il lui serra alors demandé d'entrer des informations (sur son "entreprise", sur lui et bien évidement, sur le produit qu'il a à vendre) par le biais de Google Merchant Center. Le tout étant entièrement gratuit, Google ne prend pas de commissions sur les ventes.

Le seul petit défaut que je trouve à ce service, c'est que les filtres de recherches ne sont pas assez poussés à mon goût...  Notons, pour revenir aux « quelques idées » que Google Shopping vous propose en page d'accueil, que si l'on clique sur l'une d'entre elle on remarque que ce n'est en fait qu'une simple recherche avec comme mot clef le genre de produit sur lequel on vient de cliquer.
Par exemple si vous cliquez sur l’écran de télévision, le lien qui s'ouvrira serra juste les resultats de la recherche "Téléviseurs". De plus, les filtres proposés sont les mêmes pour toutes les catégories de produits, à savoir uniquement choisir entre une fourchette de prix, ou choisir un vendeur en particulier.

Je trouve ça dommage, Google aurait pu se pencher un peu plus sur le problème et proposer des filtres en fonction de l'idées sélectionnée, comme "taille" ou "type d’écran" toujours pour les téléviseurs par exemple...





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lundi 1 novembre 2010

Android en détails !

Alors que Google test son réseau internet 1Gb à l'université de Stanford, alors que le groupe a encore et toujours de plus en plus de problèmes avec son service Google Street View, et alors même que Google Shopping vient de sortir en France (voir notre article), je vais aujourd'hui vous parler du système d'exploitation pour smartphone de Google. J'ai nommé... Android !

Android était à la base une start-up spécialisée dans le développement d'applications mobile. Elle fut rachettée par Google en Aout 2005 qui le transforma en l'OS mobile tel que nous le connaissons aujourd'hui. Le système d'exploitation en partie open source est distribué gratuitement aux fabricants de smartphone, et c'est surement ce qui battît son large succès depuis Octobre 2008.

Les differentes versions d'Android portent toutes un nom de dessert (en anglais), déclinées par ordre alphabétique et numerologique après les deux premières versions alpha et beta :

Version 0.9 Alpha 
Version 1.0 Beta
Version 1.5 Cupcake (espèce de muffin avec de la crème par dessus)
Version 1.6 Donut
Version 2.0 et 2.1 : Eclair
Version 2.2 : FroYo (pour Frozen Yogurt, un yaourt glacé accompagnée de fruits frais)
Version 2.3 et 2.4Gingerbread (pain d'épice)
Version 3.0 et 3.1Honeycomb (gâteau au miel)
Version 3.4 : Ice cream sandwich (double biscuit fourré de crème glacée)

Ceci en prenant en compte le fait que la version Honeycomb est exclusivement réservée au tablettes tactiles. Ice Cream Sandwich corrigera d'ailleurs le problème en étant compatible pour les smartphones tout comme pour les tablettes.

Quoi qu'il en soit, Google a récemment reçu son bonhomme géant de pain d'épice (voir la vidéo) ! C'est le signe, selon webactus.net, d'une sortie imminente de Gingerbread !! Et par la même occasion, de la réponse à nos questions...

En effet, quelques temps avant la sortie de toutes les précédentes versions d'Android, la pelouse du Googleplex de San Francisco a à chaque fois accueillie une statue à l'effigie du dessert tant attendu.

Soyons sûrs que dès que Gingerbread serra disponible, je ne manquerai pas de l'installer sur mon Nexus One et de poster un billet sur mes premiers ressentiments !


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