/!\ Mise à jour du 09 Novembre 2010 :
Google a répondu à la lettre d'hier, adressée à
Eric Schimt, au sujet de la modification des
conditions d'utilisation du service
Google Adwords.
Le groupe précise qu'il est en position parfaitement légitime vis à vis de la loi, et que les grandes marques ne devrait pas avoir peur de faire confiance à l'esprit critique des internautes.
En effet, Google métaphore avec le fait que « Les consommateurs ne sont pas induis en erreur lorsqu'ils voient différentes marques dans les rayons d'un supermarché » en rajoutant même que « Les consommateurs sont des utilisateurs éclairés » et que de ces faits, Google ne pense pas qu’ils « puissent être induits en erreur par la présence de plusieurs publicités pour un produit ».
Le géant d'internet rappelle également qu'il est possible, et cela même avant le 14 septembre dernier, de soumettre une réclamation si
« Un concurrent utilise [leur] marque déposée dans son texte d’annonce ».
Google précise,
sur sa page d'aide, que si la réclamation est
"fondée et motivé", elle sera étudiée et qu'à terme le concurrent se verra demandé de retirer son annonce jugée frauduleuse.
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Bien que je mette un point d'honneur a ne pas m'attarder sur les rumeurs, et surtout à ne pas les relayer sur ce blog, un article du site
Electronlibre a su retenir toute mon attention, et je me permet de vous en faire part !
Il s'agirait d'une
lettre de protestation à destination du PDG de
Google,
Eric Shcmit, contre
"la nouvelle politique de diffusion des liens commerciaux" du groupe, mise en place depuis le
14 septembre 2010.
En effet, depuis cette date il est possible d’
acheter le nom de marques déposées (comme
BMW,
Apple etc...) auprès du service
Google Adwords qui permet de référencer un site internet parmi les
liens commerciaux du moteur de recherche (les liens sur fond jaune en tête de recherche, et ceux dans la colonne de droite).
La lettre est adréssé par
"l'ensemble des dirigeants des sociétés commerciales", soit :
- L'Union Des Annonceurs (UDA)
L'UDA se dit vouloir "Promouvoir une communication responsable", "faire valoir les intérêts et les positions des annonceurs auprès de leurs interlocuteurs", et "permettre à ses adhérents d’optimiser, en efficacité et en coût, leurs investissements en communication".
- L'Union des Fabricants (UniFab)
L'UniFab se positionnent quant à eux tout simplement comme les défenseurs de la propriété intellectuelle sous toutes ses formes.
- Le Syndicat de la Presse Quotidienne Nationale (SPQM)
"Le SPQN a pour vocation le conseil et la défense des intérêts de la Presse quotidienne nationale. Il étudie toutes les questions économiques, juridiques et sociales concernant la presse. Il intervient en tant que de besoin sur l'ensemble des domaines relevant de la communication."
Les journaux
Le Monde,
L'Equipe,
Le figaro ou encore
Libération en font notamment parti.
- Le Syndicat de la Presse Magazine (SPM)
Le but de la
SPM est d'
"accompagner l'évolution de la presse et de ses métiers, et si possible les anticiper", ainsi que de
"contribuer à « normaliser » le marché de la presse, lequel reste marqué par une réglementation excessive, illusoirement protectrice, et une organisation qui n'est pas toujours synonyme d'efficacité".
Il regroupe parmi ses rangs notamment
Entrevue,
Le Point ou encore
Télé Z.
La lettre devrait officiellement être publiée demain, mais elle est d'ores et déjà disponible en téléchargement sur les serveurs de
Electronlibre à cette adresse :
Telecharger le document complet.
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